Giuseppe Pistilli

Chez Sabine et Alain avec Nicola

Avec Nicola réunion de chantier

Le bon vivant

Ciao Tonton Pino, Tu es parti mais tu restes à jamais dans nos coeurs et Dieu seul sait combien tu étais aimé ! Je garderai de toi ton sourire, ton regard malicieux, ta gentillesse... je pourrais en citer encore... tu ne manquais pas de qualités ! Tu étais la générosité même et la force tranquille, un homme courageux et épicurien, tu aimais la vie, tu aimais la fêter, la célébrer ! J'ai une douce pensée émue pour mes cousin(e)s, petit(e)s cousin(e)s, etc... aucun mot ne sonne juste en pareille situation, alors je citerai le film "Ghost" pour terminer : "l'amour que l'on a en soi, on l'emporte avec soi"... et Tonton, de l'amour, il en débordait pour vous, pour nous, pour la Vie... Je vous embrasse fort, Sandra

Adieu Joseph, Je garderai de toi le souvenir d'un vrai bon vivant, toujours bienveillant, de bonne humeur et prêt pour rire et faire la fête. Et je continuerai de penser à toi chaque fois que je ferai des lasagnes puisque tu avais eu la gentillesse de me transmettre TA recette. Ciao Pino. Avec mes plus sincères condoléances à Christian, Evelyne, Hélène, Pascal, leurs enfants et petits-enfants. Je pense très fort à vous. Annie.

Un moment heureux ! c'est le souvenir que je garderai de Pino

L'homme, le bel Italien, le bon vivant, tu m'as fait découvrir le Limoncello en Italie, j'étais un peu pompette après d'ailleurs et ca ta bien fait rire ! Juillet 2020, j'ai eu l'a chance de te voir et de faire quelques photos de toi on a bien rit Alors pour ceux que tu as du laisser ici sur terre, cette photo est pour eux car ce que j’aime avec la photographie c’est qu’elle capture un moment disparu à jamais, et Impossible à reproduire. Savez-vous ce que veut dire le mot « Photographie » cela signifie en grec « écrire avec la lumière ». Alors cette lumière restera allumée dans chacun de nous Antonia

A Christian, Hélène, Evelyne, Pascal Je l’aimais votre papa, tel qu’il était, avec ses défauts, ses qualités, son exubérance. Mais surtout sa bonne humeur communicative, sa gentillesse, son naturel d’aller au-devant des autres…Toujours prêt à rendre service. Il était arrivé avec sa famille tout jeune homme (14 ans je crois) rue du Landy où nous habitions côté Saint-Denis, lui côté Aubervilliers. On n’avait que la route à traverser. Dans ce quartier, il a eu vite fait de s’intégrer ! Il faisait des ravages auprès des filles ! Ma sœur Simonne y a succombé et ils se sont mariés en juillet 1957. Pendant toutes ces années, on ne s’est pas beaucoup quittés, avec nos enfants, les vacances en Vendée, les voyages, les randonnées, malgré les déménagements réciproques … Et il n’y a pas eu beaucoup de grains de sable entre nous. Lorsque Claude est décédé, il était très affecté et il a dit « j’ai perdu un frère ». J’aimais l’entendre chanter : la photo a été prise dans les rues de Naples (il tenait à poser sous l’écrit) lorsque nous avons été à Ischia, Procida et Capri. On voulait y retourner avec lui. Il avait d’ailleurs chanté dans le restaurant à Naples et il avait donné du bonheur aux gens qui étaient là avec nous. Il laissera un grand vide auprès de tous ceux qui l’ont approché et ils sont très nombreux. Votre Tata Yvonne qui sera toujours avec vous en pensant à lui.

Papa J'ai toujours aimé cette chanson de Lynda Lemay Je trouve qu'elle reflète bien ce que vous étiez maman et toi Je la mettrais demain avant ton départ Ciao mon papa "Comment t'as fais maman Pour savoir que papa Beau temps ou mauvais temps Il ne partirait pas Est-ce que t'en étais sûre ou si tu savais pas, Est-ce que les déchirures ça se prévoit ? Comment t'as fait maman pour trouver le bon gars, tu l'as connu comment ? Tu l' as aimé pourquoi ? Est-ce qu'y en avait juste un dans tous le présent siècle ? Et il se trouve que c'est toi qui dort avec... Comment t'as trouvé un homme qui n'a pas peur ? Qui promet sans trembler, qui aime de tout son coeur Jle disais y'a longtemps mais pas de la même manière, t'as de la chance maman, le plus fort c'est mon père Comment t'as fait maman pour lui ouvrir ton cœur sans qu'il parte en courant avec c'que t'as d'meilleur Est-ce qu'y à des mots magiques que t'as dis sans t'rendre compte Comment t'as pu trouver un homme qui n'a pas peur, qui promet sans trembler, qui aime de tout son cœur ? Vas-tu m'dire maman comment t'as pu savoir dès le commencement qu'c'etait pas un trouillard ? Qu'il allait pas s'enfuir et qu'il allait tout faire pour que je puisse lui dire Le plus fort c'est mon père Quel effet ça t'as fais quand tu l'as rencontré, est-ce que ça paraissait qu'il allait tant t'aimer ? Les hommes bien souvent paraissent extraordinaires mais dis-toi bien maman Qu'le plus fort c'est mon père"

Mon Papy, Avec toi, la vie perd l’un de ses plus beaux sourires. Ce sourire, tu l’as gardé malgré les épreuves et tu rayonnais autour de toi. Toutes les personnes que tu as croisées se souviennent de moments singuliers avec toi, d’une blague, d’un fou rire, d’une partie de pétanque, d’une chanson italienne, d’une de tes expressions... Il faut dire, tu étais un sacré phénomène. Si drôle et si attachant. Tu as tout donné, toute ta vie, pour que notre si grande famille ne desserrent pas les liens si forts qui les unissaient. C’était ta plus grande réussite, et c’était je crois, la chose qui comptait le plus pour toi. Je suis désolée, mon papy, que nous n’ayons pas pu faire perdurer tout ça. Que nous n’ayons pas su, se réunir autour de toi et te montrer à quel point tu avais raison. Tu aurais mérité moins de contrariétés. Mais c’est la vie, et maintenant tu n’es plus là. Nous ferons de notre mieux pour ne pas te décevoir, je sais que tu nous regardes. Je sais aussi que tu nous as tous aimé sincèrement de tout ton cœur. Et je suis heureuse d’avoir pu te dire aussi à quel point tu as été formidable, à quel point je t’aime, et à quel point tu vas nous manquer. Tu vas rejoindre ta douce, qui doit être si heureuse de te revoir. Ciao Léa