Philippe François Melocco

Toutes mes condoléances à la famille , je prends part à votre douleur.Philippe, repose en paix. Nathalie Tatoyan

Il était une fois un « bouquet » de cousins, que trois sœurs aimantes recomposaient chaque semaine. C’est ainsi que nous avons fait des cabanes ensemble dans les bois du circuit, fait nos communions ensemble, rit ensemble et parfois pleuré ensemble ! Tu étais le plus jeune de cette « fratrie » qui ne disait pas son nom. Tu étais le chouchou de nos mères et de notre grand-mère, il faut dire que tu savais y faire, les cajolant et caressant pour obtenir ce que tu désirais. Même la boulangère, Madame Mirandais, était sensible à ton charme d’enfant et tu obtenais d’elle gâteaux et friandises. Deux fleurs de notre bouquet déjà s’en sont allées et toi tu viens de partir resserrant encore la composition florale. Au départ de Jean-Marc, nous étions en rangs serrés autour de lui pour le maintenir debout. La bande, recomposée en partie, avait à Ver sur Mer, retrouvé complicité et fou-rires. Tu en étais « Philippe » et nous ignorions alors que tu serais du prochain départ ! Avec toi c’est toute une page de notre enfance qui a quitté le livre et l’histoire soudain est devenue sombre. La distance, le vieillissement des fleurs aussi, font que nous ne sommes pas présents aujourd’hui. Grégory lit ce texte pour nous et nos voix se mêlent à la sienne pour te dire combien tu vas manquer à nos vies ! Au revoir Philippe Monique, Nicole, Chantal, Any, Martine et Patrick Il était une fois un « bouquet » de cousins, que trois sœurs aimantes recomposaient chaque semaine. C’est ainsi que nous avons fait des cabanes ensemble dans les bois du circuit, fait nos communions ensemble, rit ensemble et parfois pleuré ensemble ! Tu étais le plus jeune de cette « fratrie » qui ne disait pas son nom. Tu étais le chouchou de nos mères et de notre grand-mère, il faut dire que tu savais y faire, les cajolant et caressant pour obtenir ce que tu désirais. Même la boulangère, Madame Mirandais, était sensible à ton charme d’enfant et tu obtenais d’elle gâteaux et friandises. Deux fleurs de notre bouquet déjà s’en sont allées et toi tu viens de partir resserrant encore la composition florale. Au départ de Jean-Marc, nous étions en rangs serrés autour de lui pour le maintenir debout. La bande, recomposée en partie, avait à Ver sur Mer, retrouvé complicité et fou-rires. Tu en étais « Philippe » et nous ignorions alors que tu serais du prochain départ ! Avec toi c’est toute une page de notre enfance qui a quitté le livre et l’histoire soudain est devenue sombre. La distance, le vieillissement des fleurs aussi, font que nous ne sommes pas présents aujourd’hui. Grégory lit ce texte pour nous et nos voix se mêlent à la sienne pour te dire combien tu vas manquer à nos vies ! Au revoir Philippe Monique, Nicole, Chantal, Any, Martine et Patrick Il était une fois un « bouquet » de cousins, que trois sœurs aimantes recomposaient chaque semaine. C’est ainsi que nous avons fait des cabanes ensemble dans les bois du circuit, fait nos communions ensemble, rit ensemble et parfois pleuré ensemble ! Tu étais le plus jeune de cette « fratrie » qui ne disait pas son nom. Tu étais le chouchou de nos mères et de notre grand-mère, il faut dire que tu savais y faire, les cajolant et caressant pour obtenir ce que tu désirais. Même la boulangère, Madame Mirandais, était sensible à ton charme d’enfant et tu obtenais d’elle gâteaux et friandises. Deux fleurs de notre bouquet déjà s’en sont allées et toi tu viens de partir resserrant encore la composition florale. Au départ de Jean-Marc, nous étions en rangs serrés autour de lui pour le maintenir debout. La bande, recomposée en partie, avait à Ver sur Mer, retrouvé complicité et fou-rires. Tu en étais « Philippe » et nous ignorions alors que tu serais du prochain départ ! Avec toi c’est toute une page de notre enfance qui a quitté le livre et l’histoire soudain est devenue sombre. La distance, le vieillissement des fleurs aussi, font que nous ne sommes pas présents aujourd’hui. Grégory lit ce texte pour nous et nos voix se mêlent à la sienne pour te dire combien tu vas manquer à nos vies ! Au revoir Philippe Monique, Nicole, Chantal, Any, Martine et Patrick

Sincères condoléances à la famille de M. Philippe MELOCCO, nous venons d’apprendre la triste nouvelle et étions peut être les derniers clients avec lesquels il a traité, pour la vente de cette maison, qu’il nous a fait acquérir à Regusse, nous avions emménagé le 14/01/2021 , donc ça fait juste 1 an aujourd’hui ‼️ Nous tenons à souligner le professionnalisme de M. P. MELOCCO qui a rejoint les anges du ciel suite à sa maladie hélas, ce fût un choc pour nous d’avoir appris cette nouvelle, nous le savions malade et en soins, il ne nous avait pas caché la vérité, nous regrettons son décès car nous avions espéré qu’il soit sauvé par la médecine , il n’était pas âgé et nous nous joignons à la peine ressentie par ses proches et collègues, à cause de sa disparition, car c’était un Monsieur très bien que nous avons apprécié, tout au long de la tractation vente-achat, déménagement, emménagement, Très sincèrement, Famille Jean-Yves Briend et Françoise Huet Briend de Regusse

Cette avec une immense tristesse que j ai appris décès de Philippe Je vous présente mes sincères condoléances F Poletti

Mes sincères condoléances à sa familles. Philippe reposer en paix

Philippe, tu resteras dans mon esprit. Mes vœux 2022 n'ont pas été réalisés. Reposes en paix mon ami. Yannick

Nous sommes bouleversés par cette triste nouvelle. Recevez nos plus tendres pensées dans cette épreuve. Sincères condoléances.

Nous venons d'apprendre cette triste nouvelle, et nous vous présentons nos sincères condoléances.

Toutes mes condoléances à la famille . Sincères pensées . Jérémie

Toutes mes condoléances à la famille de Philippe. Un homme de cœur. Repose en paix