Philippe Georges André Boulé

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le départ de Philippe. Philippe est un homme très gentil, très généreux, avec qui nous avons passé de très agréables moments, de rires et de convivialité. Nous ne l’avions pas revu depuis quelques années mais nous gardons de Philippe un excellent souvenir et il restera dans nos mémoires. Courage Maïlys pour les jours, semaines et mois à venir mais sache que nous sommes avec toi de tout coeur. Philippe va dorénavant veiller sur nous tous.

Cher Philippe, On a discuté ensemble au téléphone dimanche soir, on a rit comme d’habitude, on a parlé de ton futur petit fils, on s’est dit à bientôt… et puis lundi… tu nous avais quitté brutalement. Nous avons eu la chance et le plaisir de partager 20 années lors des vacances d’été à tes côtés, remplies de moments conviviaux, joyeux et agréables. Nous n’oublierons jamais, ta gentillesse , ta bonté et ta bienveillance… Tu es parti comme tu le désirais… Repose en paix cher Philippe. Tu vas nous manquer… Nos Sincères condoléances à vous, Mailys et Linar… Willy, Nadia, Dylan et Mathys.

Votre Papa était un homme formidable. Toutes nos pensées vous accompagnent durant ce douloureux moment. Recevez nos plus sincères condoléances. Famille Joly

Philippe, tous ces étés passés, des Pyrénées à la Provence, nous avons gardé au fond de notre cœur toutes ces années de bonheur. De ces souvenirs d'enfance qui pour nous, du magicien au super-héros, puis les années ont passé, nous avons reconnu ta ferveur au travail, l'amour des animaux et de ton prochain, ta façon d'être sans s'attacher aux choses, mais à l'être. et surtout sans rancune. Puis l'amour éperdu pour ta fille. Nous tenions à te dire que nous t'aimions et merci pour cette belle leçon de vie Nous pensons tous à toi et à Mäelys dans ces moments difficiles. Famille NORMAND Emmanuelle-Daniel, Bertrand-florence, Hugues-Sandrine, Thierry-Nathalie, thibault, loïck, Maxime, Anais, Manon, Geoffrey, Maeva, Pauline et Valentin Alain LARIBIER

Adieu mon vieux ! Ami de jeunesse, nous ne nous sommes jamais quitté depuis les bancs d'école. Toutes ces années et surtout tous ces étés où nous avons partagé nos joies et nos peines. C'est ta fille Mäelys qui nous a mis au courant de ton départ tout aussi affectueusement que tu l'as été pour nous ! Elle peut compter sur nous, comme nous l'avons toujours fait pour toi. Nous t'aimons mon ami et pensons fort à toi. Jean-Louis et Ghislaine

Philippe, Que de souvenirs avec toi, que de souvenirs grâce à toi. Les sorties au McDo avec Maïlys, les après-midi piscine chez toi, la maison de Saint Aygulf. Que du bonheur ! J'ai quitté le domicile de mes parents et je te voyais moins, mais au hasard de mes passages à Trans, c'est toujours avec plaisir que je te croisais. C'est aussi à Maïlys que je pense aujourd'hui et j'imagine la peine que ça doit être de perdre son père, d'autant plus à la veille d'un événement qui doit être le plus beau de sa vie. Repose en paix Philippe, courage Maïlys.

Philippe mon ami, Difficile d'imaginer que je ne te verrai plus prendre ton courrier devant chez moi, difficile d'imaginer que tu ne viendras plus prendre un café comme avant le COVID. Je garde ton image d'Etre extraordinaire, qui se réjouit du bonheur des autres, tellement gentil que, lorsque tu donnais ou prêtais quelques chose, tu ajoutais toujours "ça me rend service". Tu aimais les autres, tu aimais les animaux également à un point tel que lorsque ton chien est mort, il y a quelques années, tu n'as pas pris d'autre compagnon, vu ton âge, de peur qu'il ne reste seul. Cette anecdote te résume bien: tu aimais l'autre plus que toi même. Philippe, mon ami, tu vas me manquer, mais finalement, si, je suis sur que je te verrais encore, à travers ma fenêtre, prendre ton courrier. Alors, je sortirai à ta rencontre pour taper un brin de causette. Mais tu ne seras pas là, c'est mon coeur qui t'aura vu. Adieu Philippe, adieu mon ami, tu me manques déjà.